J’observe les galaxies au plafond
Je me perds dans une balade au son de notes
Electriques
Echouées sur les rives de ma mémoire
Chaque atome de mon corps constitue
Une plage imaginaire
Où le sable s’envole pour s’attacher aux étoiles
Mes murs deviennent des scènes où se jouent des pièces étranges
Un tourbillon formidable de syllabes
Et à chaque percussion mon corps
Se métastase